NOSTALGIA, le Blog qui fait oublier les tracas

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J.L. Miksa : Céréalité

Voici une petite histoire qui m'est arrivée dernièrement et qui est directement liée aux commentaires de Clément sur le blog et qui concernent une tisane un peu particulière.

Ce commentaire a été laissé sur la page des récits "Les secrets d’un mystérieux voyage à Leipzig", le voici :

 Comme vous ne le savez peut-être pas, notre ami JLM (JLes Mystifie) est un fervent adepte de concours en tous genres.

Il a gagné dernièrement un voyage de remise en forme offert par le fabriquant de tisane à la camomille moldave Ceai Revigorant (en français : le thé excitant) grâce à son slogan ‘Avec Ceai Revigorant, c'est comme à 20 ans’.

Avant de partir pour ce séjour dans le centre de réanimation dynamique compensatoire de Slov’Yanoserbka (ville de la Transnistrie, point culminant du pays à 430 mètres d’altitude) il nous a fait parvenir ce récit reprenant en détail les points restés obscurs de mon dernier voyage à Leipzig.

Pour une meilleure compréhension et afin de préserver la vérité historique du récit, je me suis permis de l’illustrer avec quelques documents inédits. 

Dernier point : je ne suis pas sûr que cette tisane ne contienne que de la camomille ! 

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Voici ma réponse :

Le 13 juillet 2017, je suis chez Clément qui m'offre une tisane. Je lis sur l'emballage de la boite qui porte le nom de "Ceai Revigorant", et contrairement à ce qu'écrit Clément, il n'y a pas de came ni de momille dedans, mais de l'herbe au thym (espèce commune des garrigues et des steppes du sud de l'Europe et du Nord de l'Afrique), des feuilles de Ginkgo biloba (arbre aux quarante écus comme son nom ne l'indique pas est originaire de Chine), de l'argousier (arbrisseau dioïque épineux dont les individus sont strictement monosexués ou monogames] originaire des zones tempérées d'Europe et d'Asie), des feuilles d'ortie, des feuilles de jasmin et des fleurs de jasmin. Bref rien que des plantes qui ne poussent pas à l'état sauvage en Moldavie, sauf vous l'aurez compris, les orties, eh oui il y en même beaucoup (comme à Schoeneck d'ailleurs).

Je découvre à cette occasion que cette tisane aux multiples vertus, soutient les fonctions cérébrales, augmente l'attention, la concentration, la mémoire, augmente également la fonction rénale, soulage les douleurs menstruelles (ça j'en ai pas besoin) et soulage la fatigue ainsi que l'anxiété (ça c'est top). Un point important : elle ne doit être mélangée avec aucun produit, quel qu'il soit !!!

A peine la tisane servie amicalement, je la bois et en redemande une autre tant elle me plait. Je bois la deuxième et une troisième dans la foulée. Et hop, l'effet est immédiat, je suis devenu un surhomme, comme celui avec le slip sur le pyjama (rassurez-vous, mon slip était bien à sa place), mais la pièce où nous nous trouvions fut soudainement baignée d'un nuage vaporeux. Ma vue se troubla, ma tête vacillait un peu mais je tins bon et c'est à ce moment-là que je découvris dans l'emballage de la boîte de tisane un questionnaire se rapportant à un concours dont le prix est un séjour de remise en forme dans une station mondialement inconnue du nom de Slov'Yanoserbka de Transnistrie (se prononce Transnistrié et déjà dans le nom de cette région, comme vous pouvez le lire ça commence par "trans" et se termine par "nistrié", ce qui laisse supposer qu'on pourrait y entrer en transe après un court séjour, à condition de ne pas être trop sinistrié). Je me suis demandé tout d'abord si ce n'était pas une blague, car je ne voyais pas la raison d'aller dans un centre de remise en forme après avoir bu la tisane censée être revigorante comme son nom l'indique si bien !

Mais détrompez-vous, c'était un vrai concours avec de supers nombreuses et compliquées questions liées à l'histoire locale d'une ferme. Et tenez-vous bien, comme par un fait exprès, les questions concernaient la "Ferme de Schoeneck". La pression commençait lentement à me monter à la tête. Discrètement je pris le questionnaire pour le remplir à la maison où à mon retour j'ai immédiatement saisis mon stylo sans sa plume car je ne savais plus où je l'avais mise (allons, pas de mauvaises pensées) et me voilà prêt à répondre. Voici les questions, il y en avait seulement quatre :

La Ferme de Schoeneck :

  1. Quel est son l'origine ?
  2. Quelle forme avait-elle ?
  3. Citez au moins une aire de jeu et trois noms de rues.
  4. Citez au moins cinquante familles l'ayant habitée.

Comme j'avais lu sur le Site de Nostalgia plein d'informations relatives à cette Ferme, je n'ai eu aucun mal à trouver les bonnes réponses :

- Réponse une : ce sont les HBL qui construisirent cette Ferme après la guerre pour y loger la nombreuse main d'œuvre qu'elle embauchait pour assurer la production de charbon dans les mines du bassin lorrain.

- Réponse deux : la Ferme avait la forme d'une clé de sol (un plan du Site le montre très bien)

- Réponse trois : l'aire de jeu préférée des enfants était "la marre" où il y avait un rouleau abandonné après les travaux de construction des routes. La rue principale était la rue de la Ferme, il y avait la rue de la Frontière, la rue de la Fontaine (j'aurai pu en citer encore tout plein, mon ami HKW (Walter) m'avait donné un plan de cette Ferme).

- Réponse quatre : c'était facile, grâce au travail de Mineur (Jean-René) qui a posté sur le blog une liste de centaines de familles ayant habitées la Ferme et visible sur le Site de Nostalgia, je n'ai eu aucun mal à en recopier cent.

J'ai envoyé le formulaire de réponse à l'adresse indiquée en évitant bien entendu d'en parler à Clément, de peur qu'il ne joue lui aussi à ce concours, car il connaissait sans aucun doute les réponses.

Et hop, un mois plus tard je reçu dans ma boite aux lettres mon attestation de gagnant du concours précité.

Pour une fois la chance me souriait, j'étais aux anges et tellement content que j'ai immédiatement appelé mon ami Clément pour lui annoncer la bonne nouvelle.

Aussitôt ne voilà-t-il pas qu'il revendique une partie de mon gain car prétexta-t-il : "c'est grâce à mon travail sur mon Site que tu as trouvé les réponses". J'avais beau lui répondre que j'ai habité cette Ferme et que si j'ai consulté son Site, c'était uniquement pour me rassurer car je connaissais les réponses. Mais il n'y avait rien faire, il insistait en me menaçant de me suivre jusqu'au centre de remise en forme. Je ne voulais surtout pas partager mon lot avec lui, alors je lui ai fait une proposition :

- Ecoute Clément, on ne va pas se bagarrer. J'ai gagné un séjour pour deux personnes et comme je suis célibataire et toi aussi, pourquoi effectivement ne pas y aller ensemble ? On partagera tout.

- Tout ? Même la chambre ?

- Mais oui, voyons, ce sera sympa tu verras !

- Mais tu rigoles, y aller avec toi et coucher dans le même lit ? Ich mén du hach ze ni mé ol.

- Popopo, ruhe, laf nyt zo schneel !

- Nun was ?

- Clément, c'est ma seule proposition et si tu la refuses, j'irai seul, un point c'est tout !

- Kom her ouf ! Vas-y seul ! Jamais je ne me mettrai dans le même plumard que toi et rien que de devoir supporter ta tronche pendant huit jours d'affilé, ça me donnerait la gerbe.

J'en reste là sur notre échange qui a tout de même duré un certain temps très incertain, mais au final j'étais rassuré, mon toupet a payé car pour moi aussi il était hors de question de partager mon lit avec lui, allons, quand même ! 

Une question se posait alors : avec qui allais-je bien pouvoir partager ce lit ? J'ai bien pensé aux miss que je connaissais, mais elles me disaient toutes ne pas être disponibles à la date indiquée (je suis sûr que c'était faux, c'était un prétexte pour ne pas m'accompagner). J'étais déçu, mais faisons contre mauvaise fortune bon cœur, je me suis promis de les faire toutes baver à mon retour avec mon nouveau corps bien revigoré.

C'est ainsi que j'entrepris tout seul mon long périple pour me rendre à Slov'Yanoserbka qui ne se trouve pas en Moldavie (comme écrit par Clément sur le Site), mais en Ukraine, tout près de la frontière Moldave !

J'ai conduit ma voiture pendant plus de vingt-cinq heures, auxquelles il faut rajouter de très nombreuses pauses. J'ai dû traverser l'Allemagne, la Pologne, la Roumanie et la Moldavie, pour arriver trois jours plus tard dans la ville désignée. Je ne parlais pas la langue du pays, encore moins le langage local qui changeait à chaque coin de rue, mais grâce à mon carton d'invitation je suis parvenu à trouver l'endroit de mon séjour.

Et là, oh la surprise ! Je me suis retrouvé devant une ferme, ou du moins ce qui pouvait s'apparenter à une ferme, c’est-à-dire qu'il y avait un petit bâtiment fait de briques et de bois, à peine plus grand qu'un garage à caravane, et à l'arrière quatre tentes confectionnées avec des bâches en plastique bleu ! Pantois, j'ai cherché la sonnette pour annoncer mon arrivée mais il n'y en avait pas. Alors j'ai frappé comme un malade sur la porte qui s'est ouverte sous la pression de ma tambourinade. Je suis rentré dans les lieux et j'ai vu une splendide beauté féminine revêtue d'une blouse blanche me faire signe de la main pour que je m'approche d'elle. J'ai cru que je rêvais, je commençais à avoir chaud, ma vue me jouait-elle des tours ? …

Je m'approchais encore et ne pouvant plus parler, je lui ai tendu mon carton d'invitation. Elle m'a aussitôt lancé un sourire magnifique et invité d'un geste pour que je la suive. Elle m'a conduit dans une chambre minuscule avec un grand lit pour seul mobilier. J'ai déposé ma valise au pied du lit et elle m'a donné un papier avec des horaires en face d'un texte incompréhensible.

Je lui fis comprendre par signes interposés vouloir manger, et là elle me répondit en français que ce n'était pas la peine que je fasse des gestes aussi stupides. Oh que j'avais l'air con ! Mais elle parlait le français, ce qui était une chance pour moi et j'en ai profité pour lui demander où se trouvait la salle de bains et la salle à manger. Elle m'a montré la douche qui se trouvait derrière un rideau en plastique suspendu entre deux poteaux en bois, puis elle me demanda de la rejoindre après la douche à l'accueil.

Je pris ma douche rapidement et j'ai filé à l'accueil avec ma feuille à la main pour lui demander de me traduire ce qui y figurait. C'étaient les horaires des soins dispensés dans le cadre de mon séjour. Je ne vais pas en faire le détail, c'est tout sauf ce qu'il y a de plus classique dans toutes les spas ou stations thermales qui se respectent. Ici c'était petit déjeuner copieux, promenade au grand air en plaine, soins, repos, repas de midi varié avec boissons à volonté, promenade au grand air en plaine, repos, repas léger du soir et dodo.

J'acceptais d'autant plus volontiers de respecter le programme car il fut si bien annoncé, par une si charmante personne…  

Comme il était déjà midi bien sonné, elle me proposa de la suivre dans la salle à manger (enfin disons plutôt une toute petite pièce avec une table et deux chaises). Je pris place et vu des plats présentés par la fenêtre restée ouverte, j'en déduisis que la cuisine se faisait dehors (ce qui ne me rassurait guère), mais la serveuse avait elle aussi un beau sourire et je ne voyais que lui et les belles rondeurs de ce corps de déesse qui disposait les plats sur ma table. J'ai tout avalé sans même savoir ce que j'ingurgitais.

Ce n'était pas de la haute gastronomie mais avec un bon verre de vin ça passait très bien. Vin soit dit au passage, servi en bouteille sans étiquette mais buvable, très buvable (d'ailleurs j'en ai ingurgité pas mal).

A la fin du repas j'ai "dû" boire une tisane (c'est normal non ?). Ensuite je n'ai eu d'autre alternative pour me changer les idées que de sortir de la maison, car ici pas de téléphones, pas de télé ni de radio, pas d'Internet, quoi demander de plus (eh bien justement, au moins un de ces trucs), mais c'est ainsi, il n'y en avait pas ! Alors je me suis risqué à l'arrière de la maison, là où il y avait ces espèces de tentes revêtues de bâches bleues.

Je me suis approché discrètement d'une d'elles, j'ai repoussé la bâche pour jeter un œil à l'intérieur (que j'ai vite ramassé car heureusement il n'était pas tombé très loin) et j'ai pu regarder à l'intérieur et là, quelle ne fut pas ma surprise d'apercevoir un corps dénudé énorme qui était assis dans une baignoire. Il gesticulait de ses deux bras au rythme d'une musique comparable à celle que l'on peut entendre en Bavière les jours de la fête de la bière. D'abord surpris par la musique entrainante qui sortait de je ne sais où, je vis soudain ce corps poser la tête sous un robinet fixé sur le rebord de la baignoire tel un robinet d'eau classique. D'un geste franc le personnage ouvrit la vanne et en soutira un breuvage qui coula aussitôt dans sa bouche et après s'être désaltéré il reprit ses gesticulations de plus belle.

Tout étonné par ce curieux manège je me suis risqué à la deuxième tente où j'y vis le même scénario, sauf que là le corps dans la baignoire était beaucoup moins imposant.

Ma curiosité était à son paroxysme et j'ai été voir dans la troisième tente où cette fois j'y vis un corps aux allures bien féminines qui profitait lui aussi d'un bon bain ainsi que de ce breuvage apparemment si délicieux.

Sans hésiter je courus regarder dans la dernière tente et là, oh surprise ! il n'y avait personne à l'intérieur. Alors tout doucement je me suis approché du robinet qui était à côté de la baignoire, j'ai glissé ma tête en dessous et actionné le levier pour en faire sortir le fameux breuvage. Dès que les premières gouttes s'échappèrent du robinet j'aperçu une main refermer la vanne. Je fus aussitôt immobilisé, mes mains furent liées et mes yeux recouvert d'un foulard. A ce moment-là, alors que je n'avais manifesté aucune révolte, des mains poussèrent ma tête sur le côté et j'ai pu sentir un liquide couler doucement sur mes lèvres. J'ouvris spontanément ma bouche et avalas une bonne gorgée, puis deux et trois, peut-être même plus et… mon esprit devint subitement confus …

Le voile qui couvrait mes yeux fut retiré, la vue encore un peu trouble je découvris des formes humaines en train de danser autour de moi. Oh mon Dieu, mais que m'arrivait-il ? Je ne savais plus où j'étais, soudain j'ai reconnu la troupe qui m'entourait, je n'en croyais pas mes yeux, c'étaient mes amis du blog, Clémau, KWH et la miss !!! Et comme par magie, ensemble, nous fûmes revêtus de costumes de carnaval. Clémau était habillé d'une tenue de chef de cérémonie avec son célèbre chapeau multicolore à pointe, KWH portait le costume d'un mannequin prêt à subir l'attaque d'un chien féroce, miss Nostalgia ressemblait à la princesse de Walt Disney et moi j'étais déguisé en guignol (pour pas changer). Mais oh, quelle ne fut pas ma surprise de voir que dans cette immense salle où les convives étaient assis à des tables certainement alignées par un géomètre, il y avait presque tous les plus fidèles blogueurs du site de Nostalgia. C'étaient Nadine, Leslie, Lise, Phil2, Thyristor, le Grand Blek, Gaston, même Joe et Gugu faisaient partie de la fête.

Avec chacun un énorme bock à la main rempli du miraculeux breuvage, nous dansâmes comme des fous quand soudain un miracle c'est réalisé.

Alors même que nous sautions comme des jeunes cabris sur la piste de danse survint un individu en vélo. Le pauvre avait l'air très fatigué, il n'en pouvait plus de pédaler. Je me suis approché de lui et j'ai reconnu notre ami Fronz. Vous savez celui de la plus belle rue au monde…

- Enfin je vous ai retrouvés me dit-il, mais je suis à plat comme les roues de mon vélo d'ailleurs.

- Qu'à cela ne tienne lui dis-je en lui proposant une tisane revigorante, mais ho là dit-il, je veux un bock, oui un bock rempli à ras bord. Il le vida d'un trait et ensemble nous entonnâmes les chansons du bon vieux temps du carnaval célébré sous les chapiteaux de notre région. C'était du : "ein zwei suffa", du : "es gibt kein beer auf hawai, es gibt kein beer", ou encore : "heit geema gar ni mehr gar ni mehr, heit geh ma gar ni mehr gar ni mehr hem", et d'autres toutes aussi populaires, bref je l'avoue, ce breuvage avait des qualités qui nous redonnais nos vingt ans (c'est d'ailleurs le slogan du fameux thé : Avec Ceai Revigorant, c'est comme à vingt ans) !

Nous étions tous originaires d'une région où la pluie était plus souvent présente que le soleil, où les métiers exercés étaient durs, souvent impitoyables, mais où on savait s'amuser et rire le samedi soir arrivé. Nous dansions, dansions comme dans les bals chez Sommer, ma tête tournait et soudain la musique s'affaiblit lentement, d'étranges bruits se firent entendre, je n'arrivais pas à comprendre ce qui se passait, puis tout d'un coup j'entendis des appels, ils devenaient de plus en plus clairs : "Jean, Jean, réveille-toi, par pitié, réveille-toi" !!!

 

canape.jpg

Et oui, vous l'avez compris, tout ceci n'était qu'un rêve. Je me suis réveillé allongé sur le canapé de Clément et, très très déçu, je lui ai demandé :

- Mais que se passe-t-il ?

- Ecoute Jean, c'est à rien n'y comprendre, je t'ai servi une tisane, tu sais le Ceai Revigorant, avec un peu de schnapps et tu es tombé dans les pommes…

- Dans les pommes ?

- Oui tu comprends bien, évanoui quoi ! Je t'ai alors allongé sur mon canapé et tu as commencé à délirer. Tu as raconté des histoires sans queue ni tête, puis tu as fait des grands gestes et même chanté de drôles de refrains.

- Non, je ne me souviens de rien, j'ai juste un peu mal au crâne.

- Mais le pire c'est que je n'arrivais pas à te réveiller, tu m'as fait peur, encore un peu et j'allais appeler le SAMU. Heureusement que tu es revenu parmi nous. Bien, reprenons notre discussion, qu'à tu à me reprocher au sujet de mon commentaire sur le blog … ?

- Oh rien, je crois que j'aurai besoin d'une vraie cure (thermale, pas celle dont tout le monde pense), ça me fera le plus grand bien pour mes vieux os, avec beaucoup de repos loin des mousquetaires, des miss et autres personnages romanesques …

 

Et c'est ainsi que JLM s'en est parti en cure. Je suis sûr qu'il aura plein de choses à raconter à son retour… 

 

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22/10/2017

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