Roger Roth : Souvenirs d'un enfant de Stiring-Wendel...
Roger Roth, ingénieur technico-commercial en Process Industriels actuellement retraité, écologiste engagé, humaniste à tous crins, chercheur en énergie libre, agriculteur potager, etc. est un investigateur infatigable qui cherche des solutions pratiques aux problèmes de notre époque. Autodidacte, spirituel et concret, Roger pense qu'il faut allier le manuel, la simplicité, la pratique, la logique, l'amour du vrai pour vivre en harmonie avec la vie qui nous entoure.
Les politiciens qui parlent haut et fort, les intellectuels qui écrivent des millions de pages, les législateurs qui font des lois et les imposent aux autres, lui ont toujours paru superficiels devant la beauté d'un paysage, la main tendu à l'autre, le sourire d'un enfant et la bonne et simple vie de tous
Né au quartier Stéphanie à Stiring-Wendel en juillet 1942, il est également l’auteur de l’ouvrage ABC de la survie optimiste, un fascicule de survie qui donne au lecteur des solutions, des listes et des idées pratiques permettant de survivre en cas de catastrophe.
Pendant la guerre 39/45, son père faisait partie des ‘malgré-nous’ comme des milliers de lorrains et d’alsaciens. Il s’est échappé plusieurs fois et fut fait prisonnier en 1944 au Mont Cassino en Italie par les américains alors qu’il désertait avec plusieurs compagnons.
Le fameux carnet dans lequel apparaît le nom de mon père Keller Jean
Parmi ces compagnons se trouvait mon père, Keller Jean, et, ce qui peut paraître incroyable, c’est que Roger Roth a retrouvé la trace écrite de cette aventure lors de la consultation du carnet intime de son père.
Il y a trouvé la preuve écrite que mon père était prisonnier dans le même camp américain et que ces derniers se fréquentaient régulièrement.
Les récits qui suivent font partie des souvenirs d'enfance de Roger lorsqu'il habitait encore dans la rue Ste Stéphanie à Stiring-Wendel. Clément Keller
A titre documentaire, une vidéo de la bataille à laquelle mon père et celui de Roger ont pris part
Ma famille
Mes parents logeaient dans la même maison que les grands parents. Le grand-père travaillait au gazomètre du Puits Simon. Il faut dire que les maisons du quartier des Houillères avaient été conçues pour cela. De plus les occupants avaient à leur disposition un jardin avec deux grands poiriers ce qui leur permettaient de se nourrir avec les légumes de leur production. Les voisins logeaient dans la partie symétrique séparée par une clôture. En septembre 1943 naquit ma sœur Marthe. Le divorce de mes parents n’avait pas arrangé la situation financière. Ma mère était obligé de subvenir à nos besoins en allant à vélo à Forbach tous les jours pour travailler dans une usine métallurgique percer des trous. En rentrant elle se mettait sur sa machine à coudre Singer à pédales et nous confectionnait de nouveaux habits avec beaucoup d’art, en partant d’anciens vêtements d’adultes. Mais le moins comique est qu’elle me tricotait mes slips ce qui faisait rire les copains de classe lors des visites médicales à l’école. D’ailleurs je servais souvent de porte bobine lorsqu’elle détricotait des pulls pour en récupérer la laine.
On ne connaissait pas le cordonnier. Mon père récupérait des morceaux de tapis transporteur de charbon et en séparait les couches en caoutchouc en bandes de quelques millimètres d’épaisseur. Ensuite il arrachait les anciennes semelles des chaussures et clouait la bande à la place et en découpait le pourtour avec une lame de ressort bien affûtée. C’est ce que font actuellement les africains avec les pneus de voitures pour faire des semelles de sandalettes. L’opération se terminait par le clouage de renforts en acier sur la devant et l’arrière des semelles, prélude à une imitation de Fred Astaire et au football avec les boîtes de conserve. Quelle chance, parce qu’à ce moment là, d’autres mettaient encore des sabots en bois et surtout des godillots à clous dont la chute entraînait une vrai hécatombe de crevaison des pneus des 'petites reines' très à la mode en ces temps là. Après la guerre nous n’étions d’aucun bord, des 'lorrains' simplement, et très chauvins. Parce qu’il faut dire que chez nous les vieux chuchotaient 'c’est un français' (des is e fronzose) en voyant quelqu’un de négligé dans la rue. C’était la preuve qu’on pensait ne pas être en France et surtout pas en Allemagne.
La meilleure est qu’au mariage d’une de mes demi-sœurs, ayant déjà 8 enfants, il y a quelques années dans une Europe constituée, elle a dû prouver à l’administration française qu’elle était bien française car les archives de Forbach avaient été détruites. Il parait que nos pères avaient le droit de choisir leur nationalité après la guerre.
J’ai trouvé la solution en fournissant le passeport de mon père pour aller en Sarre ce qui prouvait qu’il était bien français. Alors comment ai-je pu faire officier en 1962 sans qu’on me pose une question aussi idiote ? Excès de zèle des technocrates de la CEE ?
La pollution régnait partout. Lorsque ma mère décrochait le linge séché du fil tendu dans le jardin elle le secouait violemment pour en décrocher la suie avec le "teppischklopfer".
Ce même instrument servait à me donner des fessées lorsque, énervé par ma sœur, je lui refilait des gnons. De la poussière, il y en avait partout et à un tel point que les troncs des arbres étaient invariablement noirs. Plus tard, à l’âge de 15 ans, lorsque ma mère se remaria en Meuse à coté de Bar-Le-Duc, je fus surpris de trouver des troncs de couleur allant du brun au vert. Même la terre du potager était noire.
En été le vent chaud nous apportait une odeur épouvantable venant de je ne sais où, et même la nuit en entendait par les fenêtres ouvertes une pompe couinante qui nous empêchait de dormir. Par contre, en hiver, le tapis de neige et le ciel s’embrasaient d’une couleur rouge qui illuminait le ciel comme une aurore boréale féerique. On était en enfer et au paradis en même temps. Ce phénomène lumineux provenait du déversement des scories en fusion acheminées depuis les hauts-fourneaux de la Sarre sur les hauteurs du terril (Schlakkeberch) longeant la route de Schoeneck.
Guerre et après-guerre
Avant le déclenchement des hostilités et ma naissance, la famille avait abandonné la maison en 1940 pour se réfugier en Charente à Cognac. La peur d'être maltraité, voir tué par l'ennemi, avait fait prendre cette décision pénible par les autorités mais les familles savaient bien que le peu de biens qu'ils avaient durement acquis allait être volé.
Avant leur départ mon grand-père avait déblayé le tas de charbon de la cave, creusé un trou et enterré le carillon Westminster après l'avoir entouré soigneusement d'une couverture. Ensuite il avait remis le tas de charbon en place. Ce fût efficace car, au retour de leur exil, ils retrouvèrent le carillon qui, malheureusement, refusa de se remettre en marche. On ne peut pas tout avoir dans la vie…
Ils avaient gardé cependant un bon souvenir de cette période car ils avaient été bien reçu par la famille d'accueil. Le plus comique était que les haies de mûres énormes avec lesquelles on faisait les confitures étaient boudées par ces habitants : ‘Ce sont des fruits empoisonnés, les fruits du diable’.
Pendant des années, je fus terrifié par le bruit des avions et le sifflement des bombes.
Les alliés lâchaient leur semence mortelle sur Sarrebruck la nuit, non pas à vue, mais suivant leurs montres et ils volaient beaucoup trop haut pour échapper à la «Schlake » c’est à dire la DCA allemande. Il en résultait un arrosage qui s’étalait sur plusieurs kilomètres sans discernement de frontière. Nous étions couchés dans les bacs à pommes de terre que le grand-père avait transformés en lit. La voûte de la cave ne pouvant supporter une bombe, la survie était illusoire mais il fallait espérer. Par prudence on avait aménagé une ouverture dans le mur en brique de la cave du voisin pour pouvoir fuir en cas d’écroulement des étages.
Plus tard je découvris qu’il existait un abri anti-aérien creusé dans la butte et passant sous la route mais je ne me rappelle pas y être allé avec ma mère.
Ma mère m'a raconté cette histoire : un jour, les américains ont fait irruption dans la cave pour la fouiller. A travers l'ouverture dans le mur ils ont senti l'odeur de pain que le voisin était en train de faire cuire dans son fourneau. Alors ils se sont précipités vers lui en enlevant le pain du four et en le mangeant tout brûlant. En échange ils ont remis des rations US. Il faut dire que la pénurie régnait et que le bébé que j'était ne mangeait que quelques rondelles de pommes de terre cuites par jour. Pour compenser ce manque de calories mon grand-père partait entre deux bombardements à Lixing-les-Rouhling (plus de 20km aller-retour) avec son vieux vélo, où même à pieds, chercher du lait de vache chez les Muller. C'est chez ses braves gens que je passais plus tard mes vacances en été, dans l’odeur permanente de fumier de vache empilé devant chaque maison.
Ce dont je me rappelle c’est le papier argenté avec lequel je jouais en sortant de la cave, sorte de bandes qui étaient lancées des avions pour brouiller les radars ennemis. Je me souviens même avoir vu un soldat avec la tête bandée tachée de sang descendre la rue Ste Stéphanie encadré de plusieurs autres soldats. Cinquante mètres plus loin ils sont rentrés dans le jardin d’un voisin et je ne les ai plus revu par la suite.
Je devais avoir dans les deux ans à ce moment là. Ma mère m’a dit plus tard que c’était un détachement de la ‘ Croix Rouge’ qui rejoignait les américains cantonnés au Habsterdick de l’autre coté du chemin de fer.
Un autre souvenir me rappelle l’eau qu’on allait chercher avec des seaux au haut de la rue. La guerre avait détruit la distribution de l’eau de ville. Il y avait à cet endroit une source qui, en s’écoulant, formait dans le caniveau en hiver une énorme glissade.
Le pont enjambant la voie ferrée de la SNCF avait aussi était détruit et un pont en bois permettait le passage des piétons et des voitures. Quelques années plus tard, lorsque je devins adolescent, il fût reconstruit par un pont en béton, un peu plus bas près de la gare.
Enfants, on allait à pied à l’église catholique de Stiring le dimanche matin. J’avais obtenu un petit travail à la librairie ‘Siebenschuh’ qui consistait à récupérer un paquet de journaux à la sortie de l’église et le ramener aux clients qui attendaient leur quotidien. En récompense je pouvais me choisir un illustré et souvent je prenais ‘Le Journal de Mickey’ dont paraissaient à ce moment là les premiers numéros. Après 1950 le progrès s'accéléra et la fierté de mon voisin était de devenir propriétaire de la première Vespa. Plus tard il s'acheta aussi la première 4cv… On avait un peu la mentalité allemande qui consiste à toujours dépasser le standing de son voisin.
Un peu plus tard, j'acquis mon premier vélo demi-course avec l'argent des mes anniversaires et de ma grande communion. J'y mis toutes mes économies. C'était le temps de nos héros, Fausto Coppi, Geminiani, et surtout Bobet. De temps en temps, on dépassait des sarrois, facilement reconnaissable avec leurs vélos rétro munis de guidons modèles 1930.
Jeux & divertissements
La télé n’existait pas mais mon père nous en avait parlé. Cela excitait notre imagination. Comme les postes radio possédaient des cadrans en verre on y voyait nos reflets et ceux de la cuisine et ainsi on avait une vision futuriste de cette nouvelle invention. Le soir avant de s'endormir on écoutait à la radio le ‘Märchen onkel’ qui nous racontait un conte dans l'attente du marchand de sable. Mais je me rappelle que notre poste était calé sur Sarrebruck et que la musique diffusée était surtout du classique. L'ami Clément de Schoeneck qui possède une excellente mémoire ajoute d'autres souvenirs : ’Je me souviens également des 'Butteredner' à la radio, des 'Hörspiele', des émissions pour enfants sur Radio Sarrebruck et de l'émission quotidienne de Gerdi et Fritz Weisenbach que j'écoutais vers midi sur le poste de TSF à lampes (GO-PO-OC- + Bande étalée et oeil magique !) de mon grand père maternel... Il y avait également le dimanche après-midi le 'Kaschparlé' pour les enfants sur radio Sarrebruck et on écoutait aussi les émissions pour enfants sur radio Beromunster... Un peu plus tard j'écoutais ‘La famille Duranton’, ‘L'homme à la voiture rouge’, ‘Quitte ou double avec Zappy Max !’, ‘Cent Francs par seconde’, et ‘Vous êtes formidables’ avec Pierre Bellemare sur Europe 1 et Radio Luxembourg.’
C'est vrai que j'ai assisté à un podium de Zappy Max où l'on distribuait à tout le monde des berlingots de shampoing Dop.
On allait rarement au cinéma car les ressources de la famille étaient très limitées depuis que mon père et ma mère s’étaient séparés. La promiscuité de la grand-mère avait mis de l’huile sur le feu mais ce n’était pas à un enfant de comprendre la situation.
Les films projetés à l’Apollo étaient toujours en allemand et c’était souvent des histoires d’amour au Tyrol. Plus tard lorsque j’étais adolescent je dépensais mon argent de poche pour aller jusqu’au cinéma situé sur la rue Nationale avant Forbach. Les thèmes avaient changés et c’étaient les période des grands films hollywoodiens (Spartacus, Quo vadis, Robin des Bois, Blanche Neige, Bambi, Tarzan, etc…).
Mais nos distractions se résumaient à dessiner avec des crayons de papiers les jours de pluie. C’est ainsi que j’avais gagné le premier prix du journal « Le Républicain Lorrain » et reçu en récompense le livre illustré du " Brave petit tailleur " Il parait que j’avais dessiné un champs de bataille avec des chars et que je n'avais que 5 ans. Curieux !
Certainement un manque d'imagination…
Mais dès que le temps était au beau nous sortions dans le jardin où nous nous évadions vers les lieux interdits : le terrain vague avec les tas d’ordures en grimpant la butte de la rue du Puits Sainte Stéphanie et plus loin, en passant sous le pont du chemin de fer, l’accès à l’étang de déversement des boues des houillères ‘le Schlammloch’. C’était le paradis des aventuriers en herbe. Chaque jeudi nous devenions ‘Indiana Jones’ et inventions de nouveaux scénarios : confection d’un radeau avec des bidons et des branches, chasse à la grenouille avec des lance-pierres, hockey sur glace en hiver, etc…
Nous faisions même griller des cuisses de grenouilles sur les fumerolles du terril en bout de l’étang sur lequel se trouvait un chemin de fer. Ce dernier avait été réalisé par déversement du schiste mélangé avec des déchets de charbon. La pression avait fini par allumer des foyers similaires aux fumerolles de volcan et l’on pouvait voir la matière incandescente dans les trous. En plus nous nous étions trouvé une âme de constructeurs de barrages
Une de nos grandes joies était d’empiler des tas de pierres et végétaux dans le canal d’arrivée de l’eau de lavage des houillères. A une heure précise de l’après midi un torrent d’eau boueuse arrivait en grand tumulte. Le jeu consistait à contenir le plus longtemps possible l’eau avant la destruction de notre ouvrage. Mais de l’autre coté de l’étang l’eau décantée s’écoulait en un petit ru tranquille dans lequel nous capturions des tritons.
Mais au fait d’où venaient les grosse grenouilles vertes ? Un jour nous étions parti à la pêche à vélo en direction de Lixing-Les-Rouhling où la famille de mon père avait un petit terrain en bordure du ruisseau. Plus en aval nous avions attrapé de grosses grenouilles vertes avec des bouts de chiffons rouges attachés sur une branche. Mais mes parents avaient horreur qu’on garde des animaux prisonniers et c’est pourquoi je les ai emmené, le cœur gros, à leur nouvelle demeure : le ‘Schlammloch’.
Dans la forêt c’était l’époque de la "guerre des boutons", des combats épiques de gladiateurs, mousquetaires et adeptes de Robin des Bois. Les batailles faisaient rage avec des bâtons comme épées et des couvercles de lessiveuses comme boucliers. La fabrication des arcs avait aussi évoluée. La technique des baleines de parapluie ligaturées apportait une puissance considérable au tir par rapport au bois de sorte que l’on n’osait plus se tirer dessus. Les flèches réalisées en tiges sèches avec un morceau de fil de dynamitage (schissdroot) enroulé au bout volaient à plus de 50 mètres. Mais cette technique devint obsolète lorsque j’eus pour cadeau un fusil à air comprimé à rondelle de pomme de terre. Ces projectiles ridicules semblaient faire rire les oiseaux jusqu’au jour ou j’inventais la méthode du tromblon. J’allais dans l’atelier du grand-père pour découper des rondelles de clous que je rajoutais au-dessus de la découpe du légume. A partir de ce moment les moineaux évitaient de loin le Robinson en herbe. Il faut dire que plus tard je suis devenu champion de tir à l’armée peut-être grâce à mon entraînement.
Mais le lance-pierres restait l'arme favorite pour la chasse en forêt. Réalisé dans une fourche de branche d'arbre et garni de lanières de caoutchouc de chambre à air de moto, il était aussi maniable qu'un pistolet de cow-boy. Des petits cailloux, écrous, voir billes de roulements servaient de munitions. Il est à remarquer que les chambres à air ne possèdent plus du tout la même élasticité. Un lance-pierres s'achète maintenant chez Décathlon. Pour les nostalgiques et les allumés Clément vous donne avec précision la méthode de fabrication des lance-pierres. Mais attention, secret défense, à ne pas communiquer à Trump... On ne sait jamais !
L’été on se baignait dans des marmites de lessiveuses remplies d’eau froide qu’on faisait chauffer au soleil. Il y avait aussi une baignoire en zinc qui servait de réservoir pour les arrosages. Il arrivait même qu’on prenait nos vélos et partions avec mon père à la piscine découverte qui se trouvait de l’autre coté de Forbach. L’eau était souvent très froide et on y trouvait même des têtards. Mais la grande joie était d’entendre la sonnette de Sabatini le glacier avec son chariot à pédales. Hélas l’argent de poche était rare, alors on se désaltérait par dépit avec un verre d’eau fraîche du robinet.
Contre la clôture des voisins, 'Opa', (mon grand-père) avait construit un atelier de bricolage et un cabanon en bois dans lequel se trouvait une balançoire à l'abri de la pluie. On s'y amusait lorsque le temps n'était pas au beau fixe. Un jour j'avais attrapé le chat du voisin et l'avait pris avec moi sur la balançoire. Le tangage lui avait donné la nausée et il a vomi tout son repas sur mes habits de dimanche. La réaction de ma mère fut extrême (sans commentaire). En ces temps là on ne faisait pas dans la dentelle. Pour une raison que j'ignore, un jour Opa s'était querellé avec le voisin et lui avait asséné une tablette de chocolat noir Vanhouten sur la tête. Le sang avait coulé mais la tablette avait tenu le coup.
Nourriture-Commodités-Scolarité
Ces pages devraient également vous intéresser :
Extraits de l'ouvrage "Les couleurs du passé" Tome 2 dans Clément Keller - Récits
La Ferme de Schoeneck années 50-60
Les récits envoyés par nos ami(e)s dans Nos ami(e)s racontent...
Les catastrophes minières dans le bassin houiller lorrain
La Boutique en ligne Nostalgia dans Humour - TV
Des plus récentes au plus anciennes... dans Dernières mises à jour
Bienvenue dans le livre d'or Nostalgia !
Anthologie, un voyage musical dans le temps dans Anthologie-Blues du charbon
La Lorraine et le Platt dans Menu culture régionale
Clément Keller : sous le signe du poisson
Clément Keller : Schoeneck, le beau coin (11)
Schoeneck de A à Z (Cliquez sur la rubrique choisie) dans Schoeneck de A à Z
La Halte Schoeneck et la cité du Bruch à Forbach
Blek le Roc - Miki dans Blek le roc - Miki
Souvenirs du bassin houiller... dans Menu général
Que les moins de 20 ans... dans Je vous parle d'un temps...
Les derniers commentaires de nos visiteurs :
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 219 autres membres