Initiatives citoyennes
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Une nouvelle interview instructive de Fabien Bouglé sur les arnaques liées au marché de l'électricité :
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Notre amie Choelle nous a fait parvenir une série de photos sur lesquelles on voit que les travaux de construction des futures éoliennes avancent à vitesse grand "V" :
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Les travaux de déforestation pour l'installation des Éoliennes allemandes près du lotissement Ferme de Schoeneck ont débuté !
Plus d'infos : CLIQUEZ ICI
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A titre d'information, ci-dessous une vidéo mise en ligne par l'association 'Contribuables associés' qui présente le projet d'une société allemande (Duno Air ?) prévu dans le pays de Nemours et le combat des élus et des citoyens pour contrer cette initiative :
Et voici ce qui nous attend :
Fabien Bouglé, lanceur d’alerte écologiste, auteur de "Éoliennes, la face noire de la transition écologique" aux Editions du Rocher est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !
Un témoignage incroyable à écouter jusqu'au bout !
→ Pour signer la pétition en ligne CLIQUEZ ICI
→ Pour visualiser la pétition envoyée par le groupe d''initiative citoyenne de Gersweiler-Klarenthal CLIQUEZ ICI. (Transmis par M. Patrick Pierre)
→ Pour voir le reportage réalisé par la télé allemande (S.R.) chez les riverains à Klarenthal et à Schoeneck CLIQUEZ ICI (début à 12'24)
→ Pour lire l'article paru dans le R.L. CLIQUEZ ICI
→ Pour lire l'article paru dans le journal allemand S.Z. CLIQUEZ ICI
→ Pour lire l'article paru dans Saarnews CLIQUEZ ICI
Traduction française :
Cher CDU (parti démocrate-chrétien allemand) de Klarenthal, s’il vous plaît, n’oubliez pas qu’à Schoeneck et à Klarenthal vivent des êtres humains et pensez à la faune et à la flore présents dans cette merveilleuse forêt. Nous ne soutiendrons jamais cette folie !
Une éolienne de 250 mètres est la plus haute au monde et nous n’avons à ce jour aucune expérience avec ce type de générateur. S’agit-il uniquement pour cette société de Trèves de se profiler, de faire de se faire connaître et de faire de l’argent ?
S’il vous plaît, soyez chrétiens et pensez à vos concitoyens !
Je m’enchaînerai plutôt à un arbre plutôt que de subir cette folie et je recherche des personnes prêtes à me soutenir !
→ Sondage paru dans le Figaro du 30 juillet 2020 (65819 votants) :
Faut-il continuer à développer l’éolien ?
OUI : 31,6 %
NON : 68,44 %
«Vent de colère contre l’éolien» par Sébastien SORIANO
C’est l’un des plus beaux paysages au monde. À quelques kilomètres d’Aix-en-Provence,la montagne Sainte-Victoire, peinte des dizaines de fois par Cézanne, éblouit chaque année plus d’un million de visiteurs. Mais ce site unique est sur le point d’être irrémédiablement défiguré: 22 éoliennes de 125 mètres de haut crèveront bientôt le point de vue sur la merveille. Malgré les nombreux recours et les protestations, des opérateurs privés conduisent le chantier à marche forcée. Et ce n’est pas un cas isolé: les paysages français se couvrent chaque semaine de nouvelles éoliennes, le parc actuel (8000 machines) devant plus que doubler de taille d’ici à 2028.
Emmanuel Macron avait pourtant admis, au début de l’année, que «le consensus sur l’éolien est en train de nettement s’affaiblir» face aux levées de boucliers des défenseurs du patrimoine et des paysages, mais l’État n’en a pas moins décidé d’accélérer, en catimini (profitant du confinement), le développement de ce mode d’énergie.
La situation est d’autant plus ubuesque que la montée en puissance de l’éolien, supposé être un mode d’énergie peu producteur de CO2, est concomitante avec la décroissance d’une énergie qui en émet encore moins, à savoir le nucléaire.
Le mois dernier, contre toute logique, l’État a ainsi fermé la centrale de Fessenheim, alors même que la très rigoureuse Autorité de sûreté nucléaire assurait qu’elle ne présentait aucun danger. Mais il fallait donner des gages aux écologistes, qui réclament à cor et à cri le développement des énergies renouvelables. Ceux-là mêmes qui feignent d’ignorer que les éoliennes ne produisent de l’électricité que par intermittence, quand il y a du vent. Le reste du temps, on est bien content de compter sur le nucléaire (tant qu’il y en a) ou sur le gaz et le charbon (comme en Allemagne). Ainsi, rien que pour garantir la même puissance disponible d’électricité que celle assurée par Fessenheim avant sa mise à l’arrêt, il faudrait 4000 éoliennes! Une pure illusion.
Nouveaux moulins à vent
Nos nouveaux moulins à vent, s’ils représentent une agression environnementale inouïe et un contresens énergétique, font en tout cas la fortune de leurs promoteurs.
On vient d’apprendre que l’État allait verser, en 2020, aux opérateurs d’énergies renouvelables électriques près de 6 milliards d’euros, l’électricité produite par les panneaux solaires et les éoliennes bénéficiant d’un prix de rachat garanti. Et qui va financer ce pactole? Nous, bien sûr, par nos impôts et une discrète taxe prélevée sur chaque facture EDF (la «contribution au service public de l’électricité»).
Dans une lettre envoyée cette semaine au président de la République, 11 acteurs majeurs du patrimoine, emmenés par Stéphane Bern, rappellent que d’autres pays comme l’Allemagne, le Royaume-Uni ou l’Espagne ont interrompu les systèmes d’aide en vigueur pour l’éolien terrestre, interrompant ainsi sa prolifération. Pourquoi la France n’en fait-elle pas autant?
Éoliennes: les opposants durcissent leur combat
Les associations et les élus qui dénoncent l’implantation «excessive» de champs d’éoliennes en France ont décidé de se regrouper pour porter leurs dossiers en justice et gagner en visibilité.
Au lieu d’agir en ordre dispersé, elles font front commun. Dans leur combat contre les éoliennes qui, selon elles, défigurent en France nos paysages, des associations ont décidé de s’unir pour attaquer. Cette première démonstration de force est survenue le mois dernier. À la place de quelques bénévoles saisissant habituellement la justice, ce sont cette fois 165 associations qui ont ensemble déposé un recours. Toutes s’en sont prises à un document de portée régionale visant la Nouvelle-Aquitaine et qui renferme d’inquiétants objectifs.
Le Sraddet - car c’est son nom - indique qu’il faudra d’ici à 2030 multiplier par 2,5 la puissance éolienne terrestre dans cette région, laquelle compte déjà 600 mâts. «Et on n’en veut pas davantage», indique Jean-Louis Butré, le président de la Fédération environnement durable (FED), qui annonce la couleur. «Comme chaque région va avoir un Sraddet, on attaquera dès qu’on le pourra ce document en nous rassemblant.» Les associations de la Bourgogne-Franche-Comté ont d’ailleurs déjà mis sabre au clair. «Dès que l’arrêté du préfet de région sera publié, on déposera un recours», avertit l’un des responsables, Michel de Broissia.
Cette stratégie de se regrouper, sans incidence sur les suites judiciaires des dossiers, permet ainsi à ces anti-éoliens d’être plus visibles sur la scène médiatique. «Car dire qu’on attaque un document régional, ça n’attire pas les foules, mais dire qu’il y a 165 associations frappant à la porte d’un tribunal, c’est plus porteur», signale-t-on à la FED, où l’on cherche justement à braquer les projecteurs sur ces schémas régionaux.
Étendard écologique
Selon Me Frédérique Cadro, spécialiste de la question, ces derniers n’ont rien d’inoffensifs. «Par exemple, les plans locaux d’urbanisme devront être compatibles avec leur contenu», dit-elle. «Ces documents sont un véritable ticket d’entrée dans chaque territoire pour tous les promoteurs d’éoliens, ajoute-t-elle. En cas de recours contre un projet, ces derniers pourront s’en prévaloir pour obtenir gain de cause devant les juges.» Or selon les associations, si ces feuilles de route sont appliquées à la lettre, ce sont des milliers de nouvelles éoliennes qui vont voir le jour en France. Après les régions du Nord qui affichent déjà complet, tout va dégringoler sur la tête des autres collectivités…
Pressentant alors que le rythme des batailles judiciaires ne va guère décroître, les associations se serrent les coudes. Leurs actions communes permettent également une répartition entre elles de frais juridiques, à chaque fois, élevés. «Il va falloir se battre, car Emmanuel Macron va faire de l’éolien l’étendard écologique qui lui permettra de gagner des voix pour la prochaine présidentielle», prédit Jean-Louis Butré. Les propos rassurants du chef de l’État en janvier dernier, sont donc, pour lui, de l’histoire ancienne. À l’occasion d’une table ronde sur l’écologie, Emmanuel Macron avait ainsi indiqué avoir pris conscience du rejet de l’éolien par la population. Le mois suivant, en février, Élisabeth Borne, qui était encore sa ministre de la Transition écologique, avait renchéri. Devant des sénateurs, elle avait même eu des paroles fortes parlant de «développement anarchique de l’éolien» ou encore «de saturation visuelle».
Mais ensuite, en avril, le gouvernement avait publié la programmation annuelle de l’énergie qui fixe des objectifs d’ici à 2028 et qui prévoit plus du doublement de la capacité d’éolien terrestre. Une douche froide pour les adversaires des énergies électriques intermittentes.
Face à une guerre judiciaire soutenue qui risque d’être engagée, les associations qui protègent le patrimoine ont décidé de rejoindre les rangs de ces kyrielles de structures locales qui défendent, elles, les intérêts des riverains. «Il faut faire cause commune, car il va y avoir trop de projets à combattre», estime Julien Lacaze, le président de Sites et Monuments. Pour la première fois, les principaux représentants de ces deux branches associatives ont en conséquence signé ensemble une lettre adressée au chef de l’État. Ensemble encore, ils ont été reçus à l’Élysée par des conseillers, le 9 juillet dernier. «On les a alertés de l’existence de vraies tensions en France provoquées par le rejet massif des éoliennes», signale Julien Lacaze. (c) Le Figaro, 30 Juillet 2020
Ci-dessous, la traduction du texte paru dans le journal
Saarbrücker Zeitung :
L'une des deux éoliennes de la forêt de Krughütte aurait une hauteur impressionnante de 247 mètres. Ce serait la plus élevée des 202 éoliennes implantées à ce jour en Sarre. Le Saarbrücker Zeitung a pris une photo à partir des coordonnées exactes de l’endroit où serait installée cette éolienne.
La distance des maisons de Klarenthal sur la gauche est de 930 mètres. Cela a été annoncé par le planificateur du projet, la société Duno Air de Trèves. Les maisons sur la droite font partie du village français de Schoeneck et se situent à peu près à la même distance.
Le gouvernement fédéral a décidé cette année seulement que les éoliennes devraient être à au moins 1000 mètres des immeubles résidentiels.
- Pourquoi n’appliquez-vous pas cette même règle ici ? A questionné mardi le riverain Luitpold Rampeltshammer dans la salle polyvalente de Klarenthal sous les applaudissements d'une centaine d'invités.
- Ce n'est pas une loi que le gouvernement fédéral a promulguée, mais seulement des directives, a répondu Marc Wiemann de Duno Air.
C’est la maire du district Isolde Ries qui avait invité à cette réunion d'information.
Il y a quatre ans, le projet d’installation de trois éoliennes dans la forêt de Krughütte avait été rejeté. Une nouvelle demande dans une procédure dite simplifiée sans participation du public vient d’être déposée.
Des citoyens de Klarenthal, de Gersweiler, d'autres régions de la Sarre et de France sont venus et ont fait part de leur colère. «Une éolienne de cette taille jette une ombre énorme qui aura un impact négatif sur nos systèmes photovoltaïques et induira de réels dommages économiques », a déclaré Alfred Berlich d'Am Bruch. Edith Reichert, l'adjointe au maire de Schoeneck, en France, se dit préoccupée par le volume sonore des éoliennes comme beaucoup d'autres citoyens. Selon la loi, le niveau sonore ne peut dépasser 35 décibels ce qui est déjà beaucoup trop pour de nombreuses personnes présentes.
Joachim Sartorius, de l'Office national de l'environnement et de la sécurité au travail (LUA) de la Sarre, avait le rôle d’intervenant neutre.
- 35 décibels peuvent être gênant la nuit comme le ronronnement d’un vieux réfrigérateur. Mais 35 décibels correspondent au niveau légal et nous devons nous en tenir à cela lors des tests, a déclaré M. Sartorius.
La composante environnementale a également joué un rôle majeur. Les grues volent deux fois au-dessus de la zone forestière chaque année, et l'impact sur la nature de la construction des éoliennes est un désastre, a-t-il déclaré. De nombreux camions sont censés rouler chaque jour le long du champ étroit et des sentiers forestiers.
- Une procédure simplifiée ne signifie pas que nous nous facilitons la tâche, au contraire, nous ferons tout vérifier en détail, a déclaré M. Sartorius.
Dans une étude menée il y a cinq ans, l'association régionale a déterminé où les éoliennes pourraient être installées. Cela inclut également la forêt de Krughütte.
Là où les éoliennes sont censées être installées, la forêt appartient au monastère évangélique de Saint-Arnual, et cette dernière a besoin d’argent.
- Il y a quelques décennies, nous avons décidé que les revenus de la sylviculture devaient être utilisés pour les projets du monastère. Entre-temps, la forêt est devenue un facteur de coût majeur et nous pouvons à nouveau gagner de l'argent avec les éoliennes, a déclaré Rolf Kiderle, président du conseil d'administration du monastère évangélique de St. Arnual. Le journal n'a pas été informé du montant perçu pour la location de la zone forestière.
L'abbaye s’est basée sur les plans de l'association régionale et a officiellement soumissionné l'ensemble du projet éolien. Duno Air a remporté le contrat et exécute actuellement la commande apparemment beaucoup plus clarifié et probablement mieux ficelé qu'il y a quatre ans.
Mais il est également évident que la population et les politiciens locaux viennent tout juste de commencer la lutte contre l’implantation de ces futures éoliennes.
- Nous parlons d'une forêt historique avec des hêtres et des chênes vieux de plus de 130 ans et qui doivent être abattus. Lors de la planification de l'association régionale il y a quatre ans, il n'a jamais été fait mention d'une hauteur de 247 mètres. La tour Eiffel n'a que 50 mètres de plus ! Je suis également contre ces éoliennes, a déclaré Madame la maire Isolde Ries.
La décision de construire ou non dans la forêt de Krughütte ces deux éoliennes sera prise cette année. Cependant, ni le conseil du district ouest ni la mairie de Sarrebruck n'auront voix au chapitre, la LUA a annoncé qu'elle prendra seule la décision.
Contacts voisins vigilants :
KIEFFER Eric 6 impasse des Hêtres 03.87.87.58.43
La vitesse dans les rues du village
Il y a un peu plus d’un an nous avons parlé sur cette page du problème de la vitesse des automobiles dans la rue de la Tuilerie et son prolongement la rue de la Ferme.
De nombreux riverains s’étaient plaints de la vitesse à laquelle certains véhicules roulaient sur cette route pourtant limitée à 30 km/h. (voir les commentaires ci-dessous).
Nos lecteurs ont fait de nombreuses propositions à ce sujet (mise en sens unique de cette rue, ajout de ralentisseurs ou de chicanes, installation d’un radar etc…).
Nous avons fait remonter toutes ces infos et fait part du mécontentement des riverains et du danger pour la population que représentent ces ‘incivilités’ mais à ce jour aucune mesure n’a été prise et la situation n’a pas évolué, bien au contraire, on pourrait même dire que c’est pire qu’avant.
Ce phénomène n’est bien sûr pas spécifique à cette seule rue, il suffit de marcher le matin dans le village et d’observer les véhicules circulant dans la rue Victor Hugo pour se rendre compte que certains roulent à 80 km/h pour s’arrêter ensuite dans un crissement de frein devant la boulangerie afin d’acheter leur baguette de pain.
Il y a eu plusieurs accidents depuis, heureusement sans faire de victimes, mais statistiquement il y aura forcément à un moment ou à un autre des blessés voire des morts…
Faut-il se résigner et attendre qu’un drame se produise ?
Lancé à 70 ou 80 km/h, un véhicule ne laisse aucune chance, par exemple, à un enfant jouant ou traversant la route.
Bien sûr, les autorités ne peuvent être considérées comme seules responsables de cette situation, nous avons à ce stade une responsabilité collective et chacun d’entre nous devrait s’impliquer à son niveau pour rendre les rues de notre village plus sûres en commençant par changer ses habitudes de conduite.
A titre personnel et anecdotique, j’ai failli être ‘percuté’ plusieurs fois lors de mes promenades matinales alors que je traversais sagement et prudemment (!) le passage piétons situé entre les 2 boulangeries du village. Certains automobilistes, arrivant à grande vitesse de Forbach ou de Stiring, semblent totalement surpris de ‘tomber’ soudainement sur des ‘êtres humains’ en sortant de ce virage à vive allure… Et je ne parle même pas des nombreuses voitures qui ont carrément ‘tapé’ dans le muret séparant la route à cet endroit et de plusieurs ‘tôles froissées’ dans notre rue… On pourrait également rajouter le non-respect du Stop au bout de la rue de la Ferme, du non-contournement de certains giratoires jugés ‘superflus’ par des conducteurs pressés et du stationnement pour le moins anarchique de de nombreux véhicules dont les propriétaires semblent oublier que les trottoirs sont, par définition, réservés aux piétons…
Lorsque l’on traverse la frontière pour se rendre en Allemagne à Klarenthal ou à Gersweiler (situés à quelques kilomètres de notre village), la vitesse est également limitée à 30 km/h. La différence, c’est que régulièrement, la police fait des contrôles et les infractions sont systématiquement verbalisées à partir d’un dépassement de 5 km de la vitesse autorisée. Certains répondront que nous sommes en France et non en Allemagne, mais les vies humaines n’auraient-elles pas la même valeur des 2 côtés de la frontière ?
Alors, soyons réalistes, si le respect des 30 km/h semble être une utopie, nous serions déjà soulagés de voir certains véhicules lever le pied et rouler à 45 ou 50 km/h…
Dans un des commentaires au bas de cette page, parmi de nombreuses propositions, notre amie Chantal avait suggéré l’installation d’un radar factice...
Un des membres de notre Blog (Elias, également citoyen référant dans le cadre de l’opération Voisins Vigilants) et riverain de la rue de la Ferme depuis de nombreuses années, excédé par ces automobilistes qui mettent des vies humaines en danger, a eu le courage de mettre cette idée en pratique et a fabriqué de ses mains un très ressemblant ‘faux’ radar dissuasif qui trône depuis quelques jours dans son jardin…
Je ne sais pas si cette initiative perdurera et servira à ‘calmer’ quelques chauffards, mais elle accélérera peut-être la mise en place de mesures plus ‘officielles’.
Sinon, il nous reste toujours la solution de revêtir un gilet d’une couleur à définir et de manifester (sans faire de casse !) tous les Week-End pour être entendus…
Bonne chance et à bon entendeur, salut !
Le 'faux radar' installé dans le jardin d'Elias
Article paru le 14/06/2019 dans le Républicain lorrain
Un excès de vitesse toutes les minutes à Schœneck
Le 4 mars dernier, 224 excès de vitesse ont été enregistrés lors d’un contrôle de police, entre 15 h et 18 h, rue Victor-Hugo à Schœneck. Il s’agit de la rue qui rejoint l’ancienne douane. Le maire du village envisage des aménagements contre la vitesse et annonce d’autres opérations de contrôle.
Un triste record a été battu, le lundi 4 mars, à Schœneck.
Ce jour-là, lors d’une opération de contrôle de police, 224 excès de vitesse ont été enregistrés rue Victor-Hugo, en à peine trois heures, de 15 h à 18 h. Soit un peu plus d’une infraction par minute. La statistique a été dévoilée lors de la dernière réunion du conseil municipal.
La rue Victor-Hugo court du centre village à la frontière avec Sarrebruck Gersweiler.
La voie est limitée à 30 km/h.
« Un autre contrôle a été mené début mai mais nous n’avons pas encore les résultats.
Le nombre d’infractions aurait été similaire, voire un peu plus élevé. Les habitants de cette rue m’interpellent régulièrement sur la vitesse excessive.
On constate même des manœuvres de dépassements dangereux, alors que nous sommes au cœur du village.
Je demande aux usagers de la route d’être plus prudents dans la traversée de Schœneck », lance Gabriel Bastian, le maire.
Projets de chicanes et de feux comportementaux
La limitation de vitesse a déjà été abaissée au maximum pour plus de sécurité dans Schœneck.
« Hélas, la majorité des automobilistes ne respecte pas les 30 km/h. Nous envisageons d’installer des chicanes et des feux comportementaux.
La rue Victor-Hugo, qui a déjà été le théâtre de quelques accidents, n’est pas la seule concernée : ça roule vite aussi rue de Stiring-Wendel ou rue de la Ferme », constate le maire.
(c) Républicain Lorrain 2019
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